Choking news – Respirez l’air pue de la montagne
I recently went for the pollution control test in Ooty, the Queen of the Hills, in the center of the Nilgiris Biosphere Reserve. Our jeep is 8 years old and, it is good to know whether or not we choke people when we go to the market in the already over polluted Ooty. Elephants kill approximately 500 people per year in India, but atmospheric pollution results in hundreds of thousand premature deaths in India every year. Consequently, checking vehicles is very, very important. At the testing center, there was a tractor, a new car and our Mahindra jeep. Very nice people, congenial atmosphere, pleasant. A picture was taken of the car’s plate, I paid my Rs 120 and off I went, I was in a hurry. Only driving back to the city center did I realize that no check whatsoever had been done. The emission levels I have on my form are fake. None of the vehicles were actually checked for pollution. These are the news for this week from one of the most important biodiversity hotspots of the Earth.
Je suis allé récemment faire le test anti-pollution à Ooty, la reine de la montagne, dans le centre de la Réserve de Biosphère des Nilgiris. Notre jeep a 8 ans et il est préférable de savoir si nous enfumons les gens lorsque nous allons au marché dans la petite ville super polluée d’Ooty. Les éléphants tuent environ 500 personnes par an en Inde, mais la pollution atmosphérique provoque des centaines de milliers de morts prématurées. En conséquence, vérifier l’émission des véhicules est très très important. Au centre de test, il y avait un tracteur, une nouvelle voiture et notre Boléro. Des gens très gentils, atmosphère détendue, plaisante. Une photo de la plaque d’immatriculation fut prise, j’ai payé mes 120 Rs et en avant, j’étais pressé. Ce n’est qu’en retournant au centre-ville que j’ai réalisé qu’aucun contrôle n’avait été fait. Les niveaux démission sur mon formulaire sont inventés. Aucun des véhicules n’a passé un test. Voilà donc les dernières nouvelles de la semaine, d’un des plus importants ‘points chauds’ de biodiversité de la planète.
Jean-Philippe Puyravaud