Elephant mortality paper – Article sur la mortalité des éléphants
http://dx.doi.org/10.11609/JoTT.o4332.7436-42
We recently published a paper (link above) on elephant mortality to analyze the causes of elephant mortality in some reserves of the Nilgiris Biosphere Reserve. Poaching has decreased although it remains a threat, but others such as disease, accidents and “unknown” causes of death are on the rise. The “unknown” cause of death is the second highest after poaching over thirty years and is increasing. Why is that so? All causes of death may not be identifiable when carcasses are highly decomposed. But then, if detection is becoming better, missing the cause of death because of decomposition should decrease. Because of this paradox all efforts should be made to identify better the cause of death and if impossible (in case of advanced decomposition), it should be mentioned in the databases. Plastics, that are so widespread in the reserves, could be an increasing cause of mortality by intestinal blockage and nothing is seriously done to address this pollution. However tedious it may be, some dissection and/or collection of samples should be performed, because “unknown” should not become equivalent to “concealed“. Moreover, database maintenance could easily be improved and made available to the public.
Nous avons récemment publié un article (lien ci-dessus) analysant les causes de la mortalité chez les éléphants dans des réserves de la Réserve de Biosphère des Nilgiris. Nous montrons que le braconnage a baissé, bien que restant une menace, alors que d’autres, tels que les maladies, accidents et causes ‘inconnues’ augmentent. Les causes ‘inconnues’ sont les plus importantes après le braconnage sur environ trente ans et cette catégorie augmente en importance. Pourquoi ? Toutes les causes de mortalité ne peuvent pas être identifiées en cas de décomposition avancée. Mais si la détection s’améliore, le fait de ne pas reconnaître la cause de la mort devrait diminuer. A cause de ce paradoxe, il faut faire au mieux pour identifier la cause et si impossible (en cas de décomposition), le noter dans la base de données. Les plastiques, tellement répandus dans les réserves, peuvent augmenter la mortalité en provoquant des blocages intestinaux, mais rien de sérieux n’est fait pour adresser cette pollution. Aussi difficile que cela puisse être, il faudrait faire quelques dissections et/ou collecter des échantillons, car ‘inconnu’ ne devrait pas devenir synonyme de ‘caché’. De plus, la maintenance de la base de données pourrait aisément être améliorée et disponible pour le public.
Priya Davidar
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